"C'est la taille critique pour continuer à déployer notre approche Lean and Green en France, en Allemagne et en Angleterre", explique le PDG, Dimitri Fotij. "Ce rachat fait entrer E-Max dans une nouvelle dimension sur le marché de l'Europe de l'Ouest".
La principale force d'E-Max réside dans sa technologie développée en interne, dans la faible empreinte carbone par tonne d'aluminium utilisé, à savoir 1,9 tonne au lieu de 10 tonnes (en moyenne dans le secteur). "Pour mettre en œuvre ce processus, nous allons investir environ 40 millions d'euros au cours des trois prochaines années", poursuit Fotij. Ensuite (en 2020), l'empreinte CO2sera même réduite à 1 tonne. "Un moyen très prometteur de produire des profilés en aluminium avec un impact neutre en CO2", conclut le PDG.